Malgré plus de 200 sélections internationales au compteur, Louise Guillet n’a, à l’image de l’équipe de France féminine, jamais connu la joie d’une qualification olympique. Un vide dans son palmarès que la toute jeune trentenaire voudrait bien évidemment combler. Oui mais…
L’équipe de France féminine n’a plus été en position de se qualifier pour les Jeux olympiques depuis 2000. Peut-on dire que ce tournoi, qui commence demain à Gouda, est le moment le plus important de l’histoire du water-polo féminin tricolore ?
Je ne sais pas si on peut dire que c’est le moment le plus important de l’histoire du water-polo féminin tricolore. Beaucoup de chemin a en effet été parcouru depuis Palerme en 2000 et on peut difficilement comparer les « époques » : les règles ont changé, la physiologie des filles a évolué, la médiatisation a augmenté (internet, presse, TV)… Par contre, une chose est sûre : le fait de participer à ce TQO va permettre à la France de bénéficier d'une reconnaissance mondiale, mais aussi je l'espère, de développer le water-polo sur le plan national. Avec, par exemple, l’arrivée de nouveaux sponsors et partenaires, l’augmentation du nombre de licenciés…
