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Dixième temps des séries du 50 m nage libre (24''89) des championnats d’Europe de Budapest (17-23 mai), Mélanie Henique était satisfaite de son entrée en matière dans la compétition hongroise.

Que retiens-tu de cette première course ?

C’est plutôt bon car j’ai voyagé samedi (15 mai) et nous sommes arrivés tard. Je suis assez satisfaite de ma course de ce matin. Je ne me sentais pas particulièrement réveillée. J’ai eu du mal à me mettre en action, mais c’est normal, nous sommes en période de travail. Nous n’avons pas spécifiquement préparé cette compétition. Il s’agit malgré tout de mon troisième meilleur temps le matin, donc voilà ce que je vais retenir de cette entrée en matière (sourire)

Qu’est-ce que tu attends de ces Euro hongrois ?

J’ai à cœur de faire descendre le chrono au fur et à mesure des 50 mètres. C’est toujours délicat de commencer par le 50 m nage libre. Il faut être tout de suite dedans, dès le premier jour. Franchement, la semaine passée, je n’avais absolument pas l’impression d’être sur le point de participer à des championnats d’Europe. D’autant que les conditions sont particulières. Il faut aussi tenir compte de ça et s’y préparer pour Tokyo. C’est bien d’être sur cette compétition.

(KMSP/Stéphane Kempinaire)

Quand tu dis que c’est « bien d’être sur cette compétition », sous-entends-tu qu’il est important de prendre des repères sur 50 m nage libre ainsi que sur l’environnement sanitaire qui sera également en vigueur au Japon ?

Je n’ai jamais disputé de finale européenne ou mondiale sur 50 m nage libre. C’est nouveau pour moi. Je connais mes adversaires parce qu’elles sont aussi sur le 50 m papillon, mais pas forcément toutes. C’est quelque chose de nouveau qui m’anime.

Tu étais confrontée à la Danoise Pernille Blume dans ta série matinale qui est aussi ta partenaire d’entraînement. Comment cela se passe-t-il entre vous ?

Nous partageons beaucoup nos expériences. A l’entraînement, nous avons envie d’être devant. Ça nous porte. Pernille a plus d’expérience que moi sur 50 m crawl, mais notre rivalité est saine. Nous sommes copines en dehors. C’est très agréable de bosser dans ces conditions.

A Budapest, Adrien Cadot

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