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Cinquièmes de la finale du 4x100 m 4 nages masculin (3’32’’37) des championnats du monde de Budapest (18-25 juin), Yohann Ndoye Brouard, Antoine Viquerat, Léon Marchand et Maxime Grousset poursuivent leur apprentissage collectif en se projetant d’ores et déjà sur les prochaines échéances internationales.

Vous semblez marquer le pas physiquement !

Yohann Ndoye Brouard : C’est clair, on s’est éclaté, mais c’est un relais de potes. C’est toujours agréable de nager avec ses copains et de vouloir gagner contre les autres. Il n’y a que du positif dans ce relais. On s’améliore : nous étions cinquièmes aux championnats d’Europe l’année dernière (Budapest) et cinquième à nouveau cette année, mais aux championnats du monde. C’est bien la preuve que nous progressons !

(KMSP/Stéphane Kempinaire)

Avec en but ultime les Jeux olympiques de Paris en 2024 ?

Maxime Grousset : On verra si dans deux ans on peut gravir une ou deux marches supplémentaires.

Comment se motive-t-on pour une finale en relais ?

Maxime Grousset : C’est la dernière course des championnats du monde. On est tous ensemble. En équipe. Il n’y a pas à réfléchir : il faut tout donner !

Maxime Grousset (KMSP/Stéphane Kempinaire).

Léon, que retiens-tu de votre performance collective ?

Léon Marchand : Je suis fatigué, mais je pense aussi qu’il est plus facile de finir une compétition sur un relais plutôt que sur une épreuve individuelle. Et puis nous étions entre potes et nous avons vécu une belle finale. Il va falloir maintenant que l’on s’améliore individuellement pour faire descendre le chrono collectivement.

En restant focus sur l’épreuve de papillon ?

Léon Marchand : Oui, je pense que le papillon me convient bien dans ce relais. Maintenant, il faut que je parvienne à nager sous les 51 secondes parce que pour l’instant, on est encore trop loin des meilleurs.

Léon Marchand (KMSP/Stéphane Kempinaire).

Antoine, quel bilan tires-tu de cette ultime épreuve ?

Antoine Viquerat : Je suis parti plus vite qu’en séries. Je me suis amusé à suivre l’Américain. Le second cinquante mètres a été plus dur. Ça commence à tirer, mais c’était vraiment très agréable !

Antoine VIquerat (KMSP/Stéphane Kempinaire).

A Budapest, Adrien Cadot

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