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Médaillé de bronze avec ses partenaires du relais mixte lors l’avant-dernière journée des championnats d’Europe de Glasgow (David Aubry, Lara Grangeon et Lisa pou), le Français Marc-Antoine Olivier voulait avant tout retenir l’effort collectif plus que son cas personnel.

Un relais, c’est toujours quelque chose de particulier, mais là, franchement, on a senti l’équipe de France plus soudée que jamais.

Le relais, ce sont toujours des émotions qui sont multipliées par quatre. Ce matin, tout le monde a fait le boulot et nous sommes récompensés par cette belle médaille de bronze.

Avais-tu une pression au moment de prendre le dernier relais ?

Je savais qu’en finissant il faudrait assumer parce que c’est souvent les meilleurs qui terminent. Il y avait une petite pression, mais je ne me suis pas posé de questions. J’ai tout donné pour mes coéquipiers.

(KMSP/Stéphane Kempinaire)

On a le sentiment d’avoir (re)vu le Marc-Antoine Olivier de la seconde partie de course du 10 km (jeudi 9 août).

J’étais vraiment bien, au point de dépasser l’Italien et l’Anglais. J’ai essayé de mettre de côté mes deux courses individuelles (5 et 10 km) car si j’étais resté dans le même état d’esprit ça aurait été plus compliqué. Je retiens surtout qu’au-delà de mon cas personnel tous les nageurs ont fait le boulot pour décrocher le bronze européen.

Quel bilan fais-tu de ta compétition ?

J’aurais aimé faire plus… Si les épreuves s’étaient déroulées en tissu, ça aurait été différent, mais bon, on savait en venant ici que ce serait un peu particulier. Au-delà de la médaille, je repars avec le sourire.

(KMSP/Stéphane Kempinaire)

Recueilli à Glasgow par A. C.

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